À la recherche d'un père

Jenny se rendit sur les lieux de la mine après une longue marche assez épuisante. Elle savait que les Kobolds étaient une race maléfique, elle devait donc être sur ses gardes. Elle entra dans la mine le plus discrètement que le lui permettaient ses bottes en rencontrant plusieurs êtres maléfiques, sans toutefois se faire remarquer par qui que ce soit. Elle chercha alors des yeux le père de la petite fille qu'elle avait rencontrée un peu plus tôt dans le quartier marchand. Ses yeux, n'étant pas habitués à la pénombre, ne distinguèrent rien sur le coup.

Maitre de Jeux Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 15/10/2007

Jenny arriva après une longue marche jusqu'à la mine. Là, bizarrement aucun Kobolds n'était devant la mine. Mais cela n'inquiéta pas plus Jenny qui entra ensuite dans la grotte. Alors qu'elle avançait presque à tâtons car ces yeux ne s'étaient pas encore adaptés à la peine ombre, elle entendit des vois humaines plus loin dans la mine ainsi que tout un raffut de bruit d'armure. Alors que la jeune femme écoutait les bruits tout en essayant de ca cacher, deux gardes arrivèrent derrière elle et dégainèrent leurs épées tout en les pointant sur Jenny.

Halte qui vas la ?! Cette mine est momentanément sous contrôle militaire. Que faite vous ici ?.

Le garde pris alors un ton plus agressif.

Répondez ou bien nous vous emprisonnerons pour espionnage. . .

Jenny se fit prendre par suprise car elle n'avait pas aperçu les gardes auparavant. Elle fut un peu déstabilisée par les questions du garde, mais ne laissa rien paraître.

- Mon nom est Jenny, Jenny Wind et vu que je suis pauvre, et pour sauver une vie humaine, je viens chercher un minerai, pour me faire de l'argent, le revendre au marché. Je suis également venue pour sauver une vie humaine. Je vous jure que si vous ne me laissez pas passer, vous endurerez des souffrances bien pires que tout ce que vous pouvez imaginer et sombrer dans de profondes abîmes que vous ne pensiez même pas qu'elles existaient.

Vous m'emprisonnerez pour espionnage ? Pourquoi je serai accusée d'espionnage? Vous cachez quelque chose, vous avez des choses à vous reprocher ? Alors, ce n'est pas moi que je plains, mais vous.

Vous me laissez passer ?

Après ce discours éloquent, Jenny eut un regard un peu dédaigneux envers les gardes qui la menaçaient toujours.

Maitre de Jeux Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 15/10/2007

Les deux garde avait toujours leurs épées sortis en direction de Jenny. Mais celle ci essaya d'intimider les deux gardes. . .
Les deux soldats se regardèrent, et se mirent à rigoler, ils avaient du mal à garder leurs épée droite tellement ils rigolaient. Après quelque minute, le même garde qui avait parler au pars avant repris plus sérieusement.

Hé ma petite Jenny, moi hier j'ai manger une pomme.

Les deux garde se regardèrent de nouveaux et repartirent dans un fous rire. Ce coup si, l'autre garde pris la parole.

Et bien je ne doute pas de vos compétence au combat bien que. . . le garde déshabilla Jenny du regard bref, je vous déconseille fortement d'oser nous provoquer, nous somme ici sous les ordres du Caporal Berny, je sais c'est bisard comme nom pour un soldat mais après tout, c'est un bonne officier. Nous avons ordre d'empêcher quiconque d'entrer dans la mine. Comme vous la déjà dit mon frère d'arme, nous réquisitionnons la mine pour une mission bien plus importante que le fait que vous veniez chercher des pierres ou je ne sais qui. De toute façon la mine est vide, nous l'avons vidé des Kobolds et n'avons trouvé personne d'autre.
Donc soit vous sortez, soit vous nous donnés une bonne raison pour qu'on vous laisse passer ou alors vous passez de force et nous n'aurons d'autre choix que de mettre un terme à votre vie en vous persan ce si jolie corps.

Les gardes était toujours sur leurs garde mais avais quand même abaisser leurs armes.

Elle ne fut nullement impressionné lorsqu'un des gardes lui adressa la parole et lui dit des propos insultants.

- Ah! Ça tombe bien que votre Caporal soit Berny, c'est justement lui que je cherche. Sa femme et sa petite fille sont désespérées car elles ne l'ont pas vu depuis bien longtemps. Elles s'inquiètent énormément pour lui. Avant qu'il ne parte, il avait dit à sa petite famille qu'il allait chercher un diamant pour sa femme, pour faire un cadeau. Elles ne l'ont pas revu depuis.

Si vous ne me laissez pas entrer, amenez Berny ici, il faut absolument que je lui parle. Vous n'avez qu'à me laisser entrer et j'irai le rencontrer.

C'est d'accord ?

Maitre de Jeux Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 15/10/2007

Les deux gardes se regardèrent, ils n'avaient pas l'impression que la jeune femme leurs mentaient. Le dernier ayant pris la parole au par avant, répondis à Jenny.

C'est d'accord, suivez nous.

Les deux gardes rangèrent leurs épée et s'enfoncèrent dans la mine avec Jenny comme suivante. Après plusieurs minutes de marche, les trois humains arrivèrent à un endroit plus éclairé et avec beaucoup plus de troupe et de matériel qu'en aux de la mine. Le même garde arrêta la marche.

Attendez ici une seconde je vais prévenir le Caporal de votre venu.

Le second garde resta avec Jenny alors que celui qui semblais avoir le plus d'autorité partis dans une galerie un peux plus loin dans la mine. Mais il réapparu quelque minute plus tard.

Le caporal Berny vous attend deuxième galerie à gauche.

La se trouvais une salle visiblement aménagée en quartier général. Il y avait des cartes de toute sorte, des Carmines, de la forêt d'Elwyn, de la mine de Northshire et d'autre encore qui était sous ses dernières posées sur une table. Lorsque Jenny entra, le caporal Berny était entrain de montré du doigt la carte de la mine et semblais donner des consignes à ses sous officiers. Lorsqu'il vis Jenny à l'entrer, il congédia ses hommes et interpella la jeune femme.

Mademoiselle Wind il me semble. Alors comme cela vous avez rencontré mon petit garçon ?

L'homme semblais d'étendu et surpris de recevoir si charmante compagnie.

- Votre petit garçon ? Non, je n'ai pas rencontré de petit garçon. Seulement une petite fille avec deux couettes. Elle m'a demandé de l'aider. Elle voulait retrouver son père, qui était vous.

Maitre de Jeux Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 15/10/2007

Le caporal souris aux dires de la jeune femme.

Alors comme ça vous avez vraiment rencontré ma fille, fort bien. Et de plus, on dirait que vous avez réussit à me trouver. Votre tache ici est donc accomplie. Maintenant, excuser moi, j'ai des défenses à préparer, des vivres à prévoir, surveiller mes hommes, leurs entraînement et de plus, il nous reste que peux de temps donc si vous veniez juste pour me rencontré, c'est chose faite et je vous prierais de m'excuser mais j'ai encore beaucoup de travaille comme je vous le disait.

Berny commençais à sortir lorsqu'il prononça ces derniers mots.

- Non, attendez avant de partir! Votre fille est très inquiète et tout votre famille est en émoi. Vous vous devez de faire quelque chose pour les rassurer. Vous devez absolument venir avec moi. Votre fille m'attend. Elle a de grands espoirs en moi et je ne peux la décevoir!

Maitre de Jeux Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 15/10/2007

Le caporal s'arrêta puis écouta de dos les dires de la jeunes femme. Une fois sont discoure terminer, il se tourna vers elle.

Écouter Mademoiselle, nous sommes à l'aube d'un grande bataille, nous n'avons aucune idée du nombre de troupe qui vont nous attaquer. Nous savons juste qu'ils visent la Compté-Du-Lac. Tout mes éclaires disparaissent et nous n'avons donc absolument aucune idée de la taille de l'armé qui vas s'abattre sur les Carmine. Si nous n'arrivons pas à les repousser, le règne de l'homme s'achèvera en ses lieux. Je ne peux donc pas me permettre de rentré chez moi, il faut que je participe à la défense et à la protection du peuple d'Elwynn. Je rentrerais quand cette foutu guerre sera terminé, si bien sur j'y survie.

Berny baissa la tête de désespoir.

Jenny regarda Berny se dégonfler. C'était bien la première fois qu'elle voyait un homme aussi respectable baisser la tête de désespoir.

- Si vous pensez avoir tant de difficulté à gagner cette guerre, eh bien je vous offre mon aide. Donnez-moi des tâches à faire et je me ferai un plaisir de vous aider. Pour la défense du peuple d'Elwynn, je suis prête à participer à cette guerre. Laissez-moi avertir votre fille et je viens vous aider par la suite.

Maitre de Jeux Nombre de messages : 120 Date d'inscription : 15/10/2007

L'officier releva la tête, un sourire se dessina sur son visage.

Bien sur que nous acceptons votre aide, je commençais à être à cours d'éclaireur et je peux pas me permettre d'envoyer plus de soldat pour des informations. Si vous pouviez aller jusqu'au steppes ardentes, on suppose que leurs camp principal y est installer en attendant le dernier de leurs troupes d'assaut. Vous devrez donc avoir une vague idée du nombres d'adversaire que nous aurons à combattre, quel sera leurs plant d'attaque, si ils ont des renforts susceptible de nous surprendre ou nous attaquer dans par derrière. Mais comme vous vous en doutez, vous serez une humaine au beaux milieux d'une horde d'orc donc inutile de vous dire que vous devez vous faire toute petite pour ne pas finir sur le tourne broche.
Pour ce qui est de ma fille, et des familles de tout les autres soldat, je vais envoyer deux cavalier prévenir toutes les familles de soldat, ne vous en faites pas pour ma fille, elle sera ou je suis.
Maintenant dépêchez vous d'atteindre leurs camp, d'amasser un maximum d'information et de revenir au plus vite pour me faire un rapport de la situation.
Si vous remplissez à bien cette mission, les autorités seront vous récompenser comme il se doit. Maintenant partez !

Berny n'attendis pas plus longtemps et s'en alla avant que Jenny ne pus rien ajouter

Jenny fut un peu effrayée de la mission que lui confiait le caporal Berny, mais elle était prête à lui servir d'éclaireur, même si elle devait mourir rotie sur une broche d'orc. Elle avait hâte d'aller les espionner car elle aimait le danger mais restait toujours prudente. Ensuite, elle fut soulagée lorsque Berny lui dit qu'elle n'avait plus à s'en faire pour sa fille. Elle parti tout de suite après le caporal et se rendit, bien décidée, jusqu'aux Steppes Ardentes.

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